top of page
Microphone

Vous avez la parole

Ecrivez-nous, comme pour un courrier de lecteurs. Nous publierons vos commentaires après validation.
Cet espace est destiné en priorité aux personnes désirant réagir face à la désinformation publiée dans nos médias au sujet d'Israël.
Les signataires sont libres de garder leur anonymat. Leur nom est connu de la rédaction.
Pour nous écrire, c'est ici.

Aperçu (les plus récents en premier)

- Article paru dans Le Temps le 29 janvier 2021 

- Emission Temps présent sur l'UNRWA, diffusée le 17 décembre 2020 

- Emission Forum, diffusée sur RSR1 le 7 novembre 2019 

- Vos lettres spontanées (sans lien avec une publication)

Voir publications antérieures ici

- Article paru dans Le Temps le 29 janvier 2021

Vous avez été nombreux à réagir aux articles parus dans Le Temps, à charge contre le ministre des Affaires étrangères Ignazio Cassis.

Note de la rédaction
M. Cassis s'est attiré les foudres des ennemis d'Israël depuis sa déclaration faite à propos de l'UNRWA, le 17 mai 2018. Qu'a-t-il vraiment déclaré? Voir notre dossier consacré à ce sujet ici.

Capture d’écran 2021-02-11 à 01.55.07.pn
Lettres de lecteurs

"Choquant"

Courriel * reçu le 1er février 2021

 

"Votre façon de présenter notre ministre des Affaires étrangères et choquante. Ce n'est pas parce que M.Cassis vous déplaît qu'il faut à ce point le démolir.

M.T.

*nom connu de la rédaction

Limite sur le plan de l'éthique journalistique"

Courriel * reçu le 2 février 2021

Et nous y revoilà ! M. Lema reprend sa plus belle plume pour invectiver M. Ignazio Cassis et Israël.

 

Rendons-lui grâce sur l'originalité de l'angle abordé pour jeter la suspicion sur Israël, car cette fois-ci, le Mossad est à l'honneur !  Par un amalgame de propos astucieux, le service de renseignements israélien se trouve au milieu d'un sujet qui ne concerne que M. Markus Seiler, secrétaire Général du DFAE et ancien chef du renseignement.

 

Futé mais limite au plan de l'éthique journalistique..

 

L'article omet de signaler combien la Suisse continue à fermer les yeux sur l'abus de l'enfant au moyen, notamment, de manuels scolaires sponsorisés par l'UNRWA. Manuels qui incitent à la haine, au racisme, au jihad et au martyr !  Education, soit dit au passage, financée par nos impôts à hauteur de 10'000'000.- CHF par année, selon le DFAE.

 

Qu'attend la Suisse pour enfin s'assurer que ces enfants reçoivent une éducation aux normes de l'UNESCO au lieu de les laisser devenir des martyrs glorieux ?

La résolution 1612 du Conseil de Sécurité de l'ONU contre l'abus de l'enfant n'aurait-il elle pas dû depuis bien longtemps être appliquée dans le souci de l'éducation et de l'avenir de ces pauvres enfants palestiniens?

Education que l’UNRWA a toujours continué à soutenir malgré de nombreuses dénonciations. Pourquoi ?

X.G., Genève

*nom connu de la rédaction

"L'UNRWA finance des manuels incitant à la haine, ce qu'omet de mentionner l'auteur"

Courriel * reçu le 2 février 2021

 

Monsieur Luis Lema semble avoir une opinion éclairée sur Ignazio Cassis et notre Confédération, semble de facto, bien mal avisée de s’être entourée des services de ce diplomate. La critique est facile mais l’art est difficile! Et pour ne reprendre, ne serait-ce que l’une des nombreuses critiques qui lui sont adressées, citons celle concernant l’UNRWA, M. Lema, omet de mentionner que cet organisme, crée en 1949, pour résoudre la crise des réfugiés palestiniens n’a non seulement pas réglé la question depuis lors (tandis que l’UNHCR le fait avec brio pour l’ensemble du monde) mais, de plus, finance des livres et des manuels incitant les enfants palestiniens à la haine et l’antisémitisme! M. Lema devrait, ne serait ce qu’a ce titre, savoir gré à Monsieur Ignazio Cassis de souhaiter épargner la Suisse et ses contribuables dans ce genre de soutien.

*Nom connu de la rédaction

"29 millions de francs suisses donnés à l'UNRWA en 2020"

Courriel * reçu le 5 février 2021

 

Dans votre édition du 29.01.2021, M. Luis Lema reprend du service pour à nouveau incriminer M. Ignazio Cassis de tous les maux de la diplomatie Suisse, avec en point de focalisation, l’UNRWA et Israël.

Un narratif bien rodé mais qui omet de rappeler aux contribuables Suisses que le DFAE a consacré, en 2020, CHF 29 millions à l’UNRWA dont CHF 10 millions pour l’éducation. Rappelons à cette occasion que parmi l’ensemble des dossiers de réfugiés, L’UNRWA n’est en charge que de celui des Palestiniens et qu’à ce jour la questions n’est toujours pas résolue. De plus, selon une étude de « Friends of Simon Wiesenthal Center (FSWC) », l’UNRWA a produit et distribué des manuels éducatifs faisant la promotion de la haine et la violence à l’encontre d’Israël en proposant d’enflammer la région. Dès Lors, et au risque de contredire M. Luis Lema, le citoyen Suisse est en droit de se demander si M. Ignazio Cassis, n’a pas fait là que son travail et rendu, notre Confédération attentive à l’engagement de ses budgets.

*Nom connu de la rédaction

Sur le même sujet, la réaction de Philippe Nantermod, conseiller national PLR

Opinion parue dans Le Temps du 1er février 2021

Ignazio Cassis, le meilleur d’entre eux

Etre élu, c’est accepter la critique. Elle est souvent légitime et chacun en mérite un peu son lot. Cela concerne aussi le meilleur conseiller fédéral. Mais si l’on peut lui reprocher quelques maladresses ou manquements de communication, les attaques dont il fait l’objet depuis quelques jours sont indignes et déplacées

Philippe Nantermod, conseiller national (PLR/VS)

En ce début d’année 2021, au beau milieu de la pandémie, la presse, et en première ligne Le Temps, le dit tout net: un de nos sept conseillers fédéraux est à côté de ses pompes. N’a pas le niveau. Se plante dans son job.

Lire aussi: La maison Ignazio Cassis est en feu

La critique est dure. Une année à manquer de masques, de respirateurs, de vaccins. A être incapables de suivre correctement les cas, à tenir à jour des statistiques, à prendre des mesures cohérentes et compréhensibles. On pouvait attendre une salve contre le ministre de la Santé, à la suite de ces errements qui nous coûtent des milliers de vies et des milliards de francs. Mais non. Le problème de la Suisse en 2021, il paraît que c’est Ignazio Cassis.

Qu’a-t-il donc bien pu faire pour que Le Temps se paie autant de pages de témoignages aussi pleutres qu’anonymes contre lui? En résumé, il est vilipendé par une brochette de diplomates mécontents de leur affectation. A la bonne heure! Voilà qu’on juge un chef à sa capacité d’obéir à ses subordonnés. Il paraît aussi qu’il ne convient pas aux ONG auxquelles il a eu le culot de demander de ne pas employer d’argent public pour des campagnes électorales en Suisse. Ou à quelques organisations internationales que l’on finance, et face auxquelles le Tessinois se serait écarté d’une attitude de béni-oui-oui.

Pas l’élu des diplomates

Ignazio Cassis doit rendre des comptes à l’Assemblée fédérale. A personne d’autre. Il n’est pas l’élu des diplomates, des organisations internationales ou des ONG. Pas plus que Viola Amherd n’est l’élue de l’armée, Cassis n’a pas été choisi pour plaire au monde des ambassadeurs. Il est là pour défendre les intérêts bien compris de la Suisse. Et ceux-ci, comme dans toute démocratie qui se respecte, correspondent aux aspirations de la majorité démocratique, pas aux visions géopolitiques de quelques-uns.

Aussenpolitik ist Innenpolitik. La ligne du chef du DFAE exaspère à gauche, ce qui est plutôt attendu d’un élu de droite. Cassis prend le temps pour signer le pacte de l'ONU sur les migrations? Il ne fait que respecter la demande du parlement et analyser les conséquences d’un accord important pour une Suisse qui veut garder légitimement la main sur sa propre politique migratoire. Il se montre critique vis-à-vis de l’UNRWA? Quoi de plus normal pour l’un des dix plus gros contributeurs d’une organisation d’aide aux réfugiés qui a été incapable de leur trouver un statut pérenne en 70 ans?

Pas de chocolats italiens trop sucrés!

Ignazio Cassis n’est pas un diplomate. Il n’est pas l’ambassadeur qui nous gâte avec ses chocolats italiens trop sucrés. Cassis est un politicien, comme ses six autres collègues. Et c’est comme un politicien qu’il gère son département. En analysant les problèmes sous le prisme des enjeux qui concernent la Suisse, des intérêts internationaux de notre pays. Et même si cela peut parfois contrarier des plans de carrière ou contredire l’opinion de secrétaires généraux d’organisations internationales, Cassis fait ce pour quoi on l’a élu: il gouverne.

En réaction à l'article "La maison Ignazio Cassis en feu" et son édito sur le même sujet parus dans Le Temps du 29 janvier 2021

Capture d’écran 2021-06-08 à 01.22.37.
Capture d’écran 2021-06-08 à 01.22.19.
Capture d’écran 2021-06-08 à 01.31.11.
bottom of page